22 mars – 23 mai, Galerie Blanche, Cité Radieuse Le Corbusier, Briey-en-forêt Vernissage samedi 22 mars à 17h
« Il y a quelques mois encore, le nom de Louis Bosny était dans le monde de l’architecture parfaitement inconnu. Ce n’est plus le cas aujourd’hui grâce au travail d’enquête remarquable mené par Jean-Michel Degraeve. Né à Liège en 1924, Louis Bosny n’a que 17 ans en mai 1940 lorsque survient l’invasion allemande. Sur les conseils de son père, il quitte son pays en janvier 1941, mais, arrêté en Espagne, il est interné dans un camp franquiste. Il parvient à gagner le Congo belge via le Portugal, intègre le SAS (Special Air Service) britannique et, en 1943, le corps expéditionnaire belge en Afrique du Nord. Il participe aux bombardements en Italie, puis rejoint l’armée de Montgomery dans la Guerre du Désert. On le trouve ensuite à Bastogne dans l’offensive des Ardennes en 1944 et pour finir sur le front en Allemagne. De retour à Liège après la guerre, Louis Bosny décide de devenir architecte. Son oeuvre rigoureuse est à plus d’un titre exemplaire. Durant quatre décennies, ce praticien engagé aura mené à terme de nombreux projets d’une qualité exceptionnelle dans les domaines connexes du logement social, de la santé et de l’éducation. Attentive, depuis le début des années 1990, à l’effervescence intellectuelle de la scène architecturale et artistique belge, La Première Rue entend, à travers cette exposition, rendre un double hommage – à l’architecte Louis Bosny lui-même, mais aussi au travail intellectuel et à l’énergie de ceux qui lui ont permis, à travers la recherche, l’édition et l’exposition, de passer de l’ombre à la lumière … » Joseph Abram
Une exposition à partir du livre
L’ouvrage monographique Une sobriété créative, Louis Bosny, Architecte 1924-1983. écrit par Jean-Michel Degraeve et retraçant la vie et l’oeuvre de l’architecte liégois, a donné naissance à une exposition organisée par les éditions Fourre-Tout et mis en oeuvre en collaboration avec l’asbl Mnema à la Cité Miroir, à Liège. Elle a eu lieu du 8 novembre 2024 au 2 février 2025 à la Cité Miroir.
Itinérance depuis la Cité Radieuse Le Corbusier de Briey-en-Forêt
Pour favoriser la découverte de l’oeuvre de Louis Bosny, l’association La Première Rue propose de créer une version itinérante de l’exposition. Les images et les textes seront déployés sur de simples plaques de carton imprimées, appuyées contre les murs, pour faciliter les voyages et les mises en oeuvre. Comme à la Cité Miroir, la scénographie sera accompagnée d’une maquette, d’ouvrages d’époque, et de dessins originaux de l’architecte, ainsi que de photographies d’auteurs qui témoignent de la vie contemporaine des logements conçus par Louis Bosny.
Commissariat : Éditions Fourre-Tout Production d’origine : MNEMA asbl — La Cité Miroir Scénographie : Pierre-Yves Jurdant, Vincent Dietsch, Steven Vitale Photographies : Nayef Hazimeh & Robin Nissen (Robinayef) Textes : Carmelo Virone. Notices additionnelles et Pierre Hebbelinck
Cette exposition, présentée d’abord au Pavillon de l’Arsenal en 2021 puis à Nancy en 2024, met en lumière les causes naturelles, physiques, biologiques ou climatiques qui ont influencé le déroulé de l’histoire architecturale. Relire l’histoire de l’architecture sous ce prisme nous prépare a affronter les défis environnementaux actuels et de mieux construire face à l’urgence climatique.
Georges-Henri Pingusson, figure emblématique de l’architecture française du XXe siècle, a laissé un héritage profond à travers ses œuvres et ses enseignements. Parmi les réalisations les plus caractéristiques de ce proche de Mallet-Stevens, Prouvé et Le Corbusier, on compte l’hôtel Latitude 43 à Saint-Tropez mais aussi le Mémorial des martyrs de la déportation sur l’île de la Cité à Paris. Dans le Grand Est, il a construit notamment le Centre de secours et d’incendie à Metz ou encore les 4 églises lorraines de Boust, Corny, Fleury et Metz-Borny. Son travail, caractérisé par une approche artistique et sensible de l’espace, couvre une variété de projets et de territoires à découvrir dans cette exposition.
▹ Jusqu’au 02 novembre : mercredi-dimanche 14h-18h ▹ Du 03 au 10 novembre : samedi-dimanche 14h-18h ▹ Du 14 au 17 novembre : tous les jours 14h-18h ▹ Entrée gratuite
Le cinéma est un terrain de jeu infini pour l’architecture et vice-versa !
À l’écran, les décors, réels ou fabriqués de toutes pièces, ont souvent les premiers rôles tels des acteurs silencieux d’histoires en mouvement. Et si on y regardait de plus près ? Que nous disent la fenêtre, l’escalier, la maison… de nos films cultes ? En proposant une série de gros plans sur l’architecture du quotidien, l’exposition invite le public à prendre part au tournage ! Chaque année la maison de l’architecture de Lorraine relie le premier et le septième art dans le cadre de son festival du film d’architecture.
Pour fêter les 10 ans de ce festival la maison s’installe à Poirel avec une exposition qui parle d’architecture, de cinéma mais surtout de la vie et de notre désir de construction. En partenariat avec la maison de l’architecture de haute-Savoie et l’Institut Européen de Cinéma et d’Audiovisuel.
▹ Du mercredi au samedi + 1er dimanche du mois 14h-18h ▹ Entrée gratuite
20 février – 14 mars à Nancy, Maison de l’architecture de Lorraine
⟀ Notre Maison de l’architecture de Lorraine est heureuse de programmer De la terre, formes et usages, qui met à l’honneur les réalisations de Laszlo Mester De Parajd, et celles qu’il a pu inspirer aux architectes lorrains.
⟀ Nos locaux accueilleront dès le 20 février cette exposition imaginée par l’architecte Julien King-Georges et qui sera complétée d’exemples modelés par les agences Mil’Lieux et Haha, et le collectif Studiolada.
⟀ Au cœur de cette exposition, nous organiserons une conférence, moment pédagogique et convivial qui donnera l’occasion d’échanger autour des vertus de ce matériau accessible, économique et écologique. Un atout précieux.
⟀ En parallèle de cette exposition, nous avons sollicité la céramiste Natacha Delannoy Kliber pour animer une résidence sur la pratique de l’argile. Entre workshop étudiant et atelier ouvert au grand public, cette résidence aura pour objet d’imaginer une ville de terre crue, dont l’inauguration sera donnée à l’occasion d’un finissage festif le 21 mars à la Galerie Neuf.
ⓘ Visites : 20 février – 14 mars, les mardis, jeudis et vendredis de 9h à 17h ⓘ Maison de l’architecture de Lorraine, 24 rue du Haut-Bourgeois à Nancy ⓘ Conférence et vernissage à venir ⓦ Résidence : maisondelarchi-lorraine.com/de-la-terre-residence/
Partenaires
Galerie Neuf, Ville de Nancy, Région Grand Est, DRAC Grand Est, Conseil régional de l’ordre des architectes, Département de Meurthe-et-Moselle
26 février – 21 mars à Nancy, Galerie Neuf La pratique de l’argile ouverte aux étudiant•es et au grand public
⟀ La terre, on marche dessus, elle soutient nos élans et stabilise nos maisons. Elle est ferme sous nos pieds, mais qu’en est-il entre nos mains ?
⟀ Dans le cadre de l’exposition De la terre, formes et usages, qui met à l’honneur les réalisations inspirées de Laszlo Mester De Parajd, la céramiste Natacha Delannoy Kliber a été invitée à occuper la Galerie Neuf pour y proposer une œuvre collaborative et évolutive.
⟀ Les étudiant•es de Lorraine sont invité•es à rejoindre les premières inscriptions des écoles d’architecture, des beaux-arts et de Condé pour modeler l’argile du 26 février au 2 mars. En créant la ville et l’espace à partir de terre chamottée, il deviendra possible de comprendre les qualités aussi artistiques que techniques de ce matériau en redécouverte.
⟀ L’atelier sera ouvert au grand public, débutant ou initié, tous les samedis de la résidence. Chacun•e pourra ainsi contribuer à la ville-œuvre qui sera inaugurée lors d’un finissage, le 21 mars.
ⓘ Visites : 26 février – 21 mars, du jeudi au samedi de 15h à 19h • Finissage le 21 mars ⓘ Galerie Neuf, 9 rue Gustave Simon à Nancy ⓘ Atelier étudiant : 26 février – 2 mars ⓘ Inscriptions des étudiant•es : contact@maisondelarchi-lorraine.com ⓘ Atelier grand public : les samedis 2, 9 et 16 mars ⓦ Exposition : maisondelarchi-lorraine.com/de-la-terre-exposition/
Partenaires
Galerie Neuf, Ville de Nancy, Région Grand Est, DRAC Grand Est, Conseil régional de l’ordre des architectes, Département de Meurthe-et-Moselle
Notre modernité sait-elle encore tendre l’oreille aux échos vertueux de certains usages traditionnels ? Peut-il de nos jours subsister une pratique qui comprenne et respecte l’environnement, parfois si différent de nous, dans lequel elle prend place ? Ama-San est une tentative pour reprendre nos esprits, pour redécouvrir comment une écologie se vit et s’admire lorsqu’elle repose sur les valeurs de la modération et de l’harmonie.
Dans une société où l’urgence et la quantité sont les fondations toujours plus profondes de nos énergies, de nos alimentations et de nos habitats, la poésie et la féminité de ce documentaire, baignées par les textures aquatiques du compositeur Amédée de Murcia, forment un atoll d’empathie à parcourir avec humilité et émerveillement.
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Ama-San de Cláudia Varejão (112 mn) Les Ama-San, les “sirènes du Japon”, sont des pêcheuses traditionnelles qui, depuis 2000 ans, plongent sans assistance respiratoire pour déloger les ormeaux de leurs rochers. Vieillissantes et rattrapées par une modernité qui respecte de moins en moins ses ressources, elles nous rappellent qu’une cohabitation est possible si l’on y met le respect et la modération. Une enquête anthropologique sensible, aussi profonde qu’une plongée en apnée, qui a remporté plusieurs prix européens.
Amédée de Murcia (Somaticae, Balladur, Jazzoux, OD Bongo…) est un compositeur polysémique qui façonne, pour chaque projet auquel il donne son intarissable énergie, un monde sonore si spécifique qu’il ne chevauche les autres qu’en de rares passages et confins. Son récent projet amphibie, paru chez Kraak et justement intitulé Zone Bleue, est un orchestral ressac entre bas-fonds et lagons. Collant à la proposition de la Maison de l’architecture de Lorraine d’imaginer un ciné-concert original et aquatique, l’artiste a choisi d’illustrer Ama-San et ses apnées contemplatives, pour traduire avec poésie l’idée d’une écologie qui a traversé les millénaires.
Le Festival du film d’architecture 2023 est organisé avec le soutien ou la participation de l’Institut européen de cinéma et d’audiovisuel (IECA), de l’École nationale supérieure d’architecture de Nancy, du cinéma Klub, de L’Autre Canal scène de musiques actuelles, de la ville de Nancy, de la DRAC Grand Est, de la Région Grand Est et du Conseil régional de l’Ordre des architectes.
Samedi 14 octobre à 14h, salle Raugraff Journées nationales de l’architecture
Image ⎔ Extrait du film Les Insulaires
⟀ Les Insulaires, 52 mn Ce documentaire est l’histoire d’une résidence d’architecture transformée en confinement en 2020, dans les Îles, un ensemble de tours hébergeant 257 familles se préparant à déménager. Pour documenter la requalification de ce quartier construit en 1970, l’architecte Adam W. Pugliese et le cinéaste Maxime Faure ont choisi de s’y immerger. Le résultat est un film impliqué et émouvant, et doublement primé. Ce projet a été soutenu par la Maison de l’architecture de Haute-Savoie.
⟀ Résidences d’architecture, 24 mn Parmi nos consœurs Maisons de l’architecture, certaines mettent sur pied des résidences qui assistent les habitant.es d’une commune dans leur désir de repenser leur espace de vie. Dynamiques et participatifs, ces projets visent à réfléchir son territoire et ses flux, revisiter le vivre ensemble par des échanges, des plans et des histoires. Filmé, cet archivage sensible entre récits, témoignages et contes est un excellent retour d’expérience à visionner et commenter.
▹ Les Insulaires ◦ Bande annonce sur Vimeo ▹ Maisons participantes ◦ Merci aux maisons de Corse, de Franche-Comté, du Limousin, de Normandie (Le Forum et Territoires pionniers)
⟀ Espace liturgique monumental, la basilique Saint-Vincent dresse ses gargouilles en surplomb de la rue du même nom à Metz. Sa façade néoclassique masque une imposante nef gothique aux colonnades élancées, propulsant ses voûtes à 23 m de haut. Aujourd’hui désacralisé, l’édifice accueille des expositions que la vastitude du lieu impose de réfléchir sous une perspective élargie, au propre comme au figuré.
⟀ Les formes et couleurs de Virginie Descamps et Nicolas Mazzi investissent le volume de la basilique dès le mois de mai et tout l’été, jalonnant un parcours imaginé comme un dialogue secret avec l’édifice. Prélevés ici et là dans le bâtiment, des éléments d’architecture servent de modèles aux géométries silhouettées par le duo et présentées sur des panneaux autonomes en bois. Les tons pastels chauds et crépusculaires imaginés sur le modèle du camouflage ont-il pour objet de se fondre dans le faste flamboyant du lieu ou de laisser le décor se diluer dans une scénographie mesurée ?
⟀ Le message porté par le tandem est fait de clins d’œil, de formes à l’hermétisme complice, qui renvoient à des contours devinés ou reconnus. Habitué à occuper cette frange entre la pratique artistique et le design d’objet, Descamps + Mazzi décloisonnent les approches comme les espaces, et proposent une interprétation personnelle et contemporaine de la marqueterie. Le résultat s’admire comme un travail au placage fin, que le matériau bois rend chaleureux et tactile, et que les couleurs rose, parme et étain intègrent délicatement à un environnement séculier et séculaire, à la nature bien différente.
⟀ Virginie Descamps et Nicolas Mazzi inscrivent leur démarche dans l’équilibre constant mais fragile d’une dialectique sans cesse renouvelée en fonction des projets, et qui les aiguillonne depuis leur formation partagée entre design industriel et arts plastiques.
⟀ À partir d’un protocole simple qui consiste à remplir des carnets entiers de croquis, leur approche éminemment picturale est valorisée par une modularité complice qui émiette les fresques en puzzles aux couleurs chamarrées. Cette façon de repenser la pratique artisanale et délicate de la marqueterie à l’aune de technologies actuelles donne à revisiter les confins de l’art et du design, à revoir leurs différences, si évidentes avant la popularisation des plotters et des imprimantes 3D, mais si confuses à l’heure où des éléments standardisés comme le papier ou le stratifié se composent avec orfèvrerie. Il faut leur esprit du tangram, ce casse-tête chinois à la logique combinatoire infinie, pour transformer ces frontières en porosités, et pour cheminer avec aplomb sur les fins interstices que ce paysage libre offre aux aventureux artistes et designers, et redécouvrir à chaque projet une manœuvre ou un assemblage nouveaux.
⟀ Au fur et à mesure de leurs recherches et installations, D+M élaborent un vocabulaire, complété étude après étude, dont la richesse se répercute de gabarit en gabarit pour occasionner un discours appliqué et harmonieux autour de la notion de décor. À l’heure de sa reproductibilité, l’art questionne les oppositions : entre outils manufacturés et façonnage minutieux, entre matériaux standardisés et techniques picturales, entre rapidité du flux industriel et lenteur de l’artisanat, entre série et pièce unique… Les scénographies de D+M montrent cela : un décor dialectique à nos connaissances et à nos sens, nous divisant entre le voir et le toucher, dans un état de transition qui alimente la réflexion et le plaisir de recomposer ces jeux de patience avec l’ouverture de notre imagination.
Collaboration avec Modulab 24 juin – 7 juillet Vernissage le samedi 24 juin de 14h à 19h Galerie Modulab ◦ www.modulab.fr 28 rue Mazelle, Metz (57)
⟀ En parallèle de leur exposition Itérations à la Basilique Saint Vincent de Metz, le duo Descamps + Mazzi invite le public à expérimenter leur pratique du dessin. Le résultat prendra place à la galerie messine Modulab dès le mois de juin, et s’intitulera La Contrepartie.
⟀ En parallèle de leur exposition Itérations à la Basilique Saint Vincent de Metz, le duo Descamps + Mazzi invite le public à expérimenter leur pratique du dessin.
⟀ Au cœur d’un intérieur peuplé de formes fondantes issues de leur répertoire graphique et sculptural, les participant.e.s découvriront une installation en mouvement. Nichée dans l’intimité feutré de la galerie, La Contrepartie se positionne comme une alternative rafraîchissante à cet été qui s’annonce caniculaire. Le flammage du bois caresse en douceur les murs de son motif ondoyant. Les marqueteries, tout comme les éléments de mobiliers, semblent saisis entre deux changements d’état. Mais si tout dans cet environnement recomposé semble glisser, couler, se liquéfier, ce ne sont que des images.
⟀ Le duo fait de la galerie un espace expérimental permettant de déployer le potentiel combinatoire de leurs objets manufacturés. Les assises, tables, tapis et patères sont pensés comme des objets sculpturaux à éprouver. Manipulables, empilables et déplaçables, ils participent à une scénographie mobile.
⟀ Descamps + Mazzi propose de nouvelles règles du jeu pour regarder, imaginer et investir leur pratique du dessin à travers l’usage d’outils-sculptures mis à disposition du public. À l’aide de ces gabarits, chaque participant.e sera ainsi invité.e prendre part à la composition en cours et enrichir cet environnement fictionnel.
Ateliers spécifiques à Modulab Jeune public les mercredis 28 juin et 05 juillet de 10h à 11h30 sur inscription Groupes les vendredis 30 juin et 7 juillet de 15h à 16h30 sur inscription Pour les inscriptions : Katerina Bednarova, coordinatrice k.bednarova@modulab.fr
Actions culturelles à la basilique Saint-Vincent De mai à septembre 2023, organisées par le service Patrimoine culturel de la ville de Metz
Visite guidée par un médiateur culturel (Re)découvrez l’histoire et l’architecture de la basilique Saint-Vincent. Tous les dimanches à 15h Durée : 30 min Visite gratuite et sans réservation
Atelier La Famille des couleurs À travers des jeux et des manipulations, les enfants découvrent les couleurs autrement. Le 27/05, 11/06 et 25/06 à 15h Durée : 1h Dès 3 ans – Gratuit sur inscription : sitespatrimoniaux@mairie-metz.fr
Atelier La monstrueuse quête de la basilique Chassez les monstres sculptés dans la pierre à l’aide de jumelles tout en découvrant l’architecture et le bestiaire. Le 04/06 et 18/06 à 15h Durée : 1h Dès 6 ans – Gratuit sur inscription : sitespatrimoniaux@mairie-metz.fr
Atelier créatif pour les familles Inspiré par Descamps & Mazzi, l’Atelier Trente propose une activité qui renvoie à la nature et à l’architecture. À l’aide de pochoirs, les enfants créeront leur propre œuvre. Les samedis 10/06, 08/07 et 05/08 à 10h30. Durée : 1h30 Les mercredis 19/07 et 16/08 à 14h30 Durée : 1h30 Gratuit sur inscription : sitespatrimoniaux@mairie-metz.fr
Du 15 avril au 19 novembre, en partenariat avec le Muséum-Aquarium de Nancy
⟀ À l’invitation du Muséum-Aquarium de Nancy, dans l’enceinte moderne du bâtiment imaginé par les frères André, notre Maison de l’architecture de Lorraine a participé à la mise en place de l’exposition Cachettes à destination des enfants, qui fait résonner avec jeu et pédagogie l’ingénierie des animaux et celle des humains.
⟀ Ateliers Cette exposition sera jalonnée d’ateliers pour le jeune public, et notre Maison de l’architecture de Lorraine en proposera plusieurs, pour compléter l’exposition et consolider les ponts entre les habitats en nature et nos inspirations humaines. Surveillez notre planning !
⟀ Installation artistique Ce projet est aussi pour nous une opportunité de dérouler la thématique vers les arts plastiques. Dès le mois de mai, une œuvre viendra habiller le jardin Dominique-Alexandre Godron, accolé au muséum, dans le prolongement sensible de l’exposition.
▹ Quand ? ◦ Du 15 avril au 19 novembre ▹ Où ? ◦ Muséum-Aquarium de Nancy, 34 rue Sainte-Catherine ▹ Le MAN ◦ www.museumaquariumdenancy.eu