Rendez-vous jeudi 27 novembre à 19h30 au P’tit local pour un apéro-conf art déco sur la rénovation du GEC avec l’architecte Sebastien Malgras !
Lieu emblématique du logement étudiant à Nancy, le GEC (anciennement groupe des étudiants catholiques) a été récemment rénové. Les travaux s’inscrivent dans une nécessité de préserver le caractère historique des 6 bâtiments qui le composent, depuis l’ancien hôtel Metz-Noblat, en passant par les bâtiments des années 20, des années 60 ou encore 80. L’ensemble a reçu récemment le label patrimoine du XXème siècle.
jeudi 23 octobre, 18h – Amphithéâtre du Muséum-Aquarium, Nancy
Art déco, Art des cons ?
Querelle de modernités dans l’Entre-deux-guerres
Mode populaire au cours des années 1920-1930 et patrimoine désormais reconnu, l’Art déco était vilipendé par la plupart des commentateurs de l’époque à Nancy. Jugé trop moderne par certains, pas assez par d’autres, il ne convainquait aucun d’entre eux. Les formules imagées fusaient alors dans la presse locale pour railler le public, les architectes et les commanditaires qui cédaient à ce goût nouveau. Depuis, les principaux historiens de l’architecture à l’échelle mondiale ne lui ont attribué qu’une place marginale, considérant ce style comme superficiel face au second grand courant de l’Entre-deux-guerres : le Mouvement moderne.
La conférence sera suivie d’une séance dédicace par Gilles Marseille de l’ouvrage «Nancy art déco, huit ballades architecturales à travers la Métropole» avec la Librairie Didier et d’un grand apéro !
> jeudi 23 octobre, 18h
> amphithéâtre du Muséum-Aquarium, 34 rue Sainte-Catherine, Nancy
> mercredi 1er octobre, 20h15 – Caméo commanderie, Nancy, suivie d’échanges avec Christian Barani et des architectes nancéiens
> mardi 14 octobre, 20h – Klub cinéma Metz, suivi d’échanges avec la Maison de l’architecture de Lorraine
Ce film nous emmène à la rencontre d’une nouvelle génération d’architectes et de paysagistes, lauréats du concours national des AJAP 2023 (Albums des Jeunes Architectes et Paysagistes).
Au fil des paysages, des chantiers et des bâtiments réalisés, ces 24 jeunes professionnels nous partagent leur regard sur leur métier : leurs engagements, leurs doutes, leurs idées pour construire autrement. Ils parlent de matériaux locaux, de lieux oubliés, de beauté, de liens humains et de nouvelles manières de faire.
À travers leurs témoignages sensibles, le film révèle une génération engagée, attentive à son époque, soucieuse de prendre soin des territoires et de ceux qui y vivent.
Rendez-vous à Nancy le 1er octobre au Caméo commanderie pour découvrir ce film, et échanger ensuite avec le cinéaste Christian Barani. Les architectes nancéiens Benoît Sindt et Xavier Géant seront également présents pour échanger.
Rendez-vous à Metz le mardi 14 octobre au Klub Metz pour une projection suivie d’échanges avec la Maison de l’architecture de Lorraine !
> en partenariat avec le Caméo commanderie Nancy, Klub Metz et image de ville
Deuil des morts de la Grande guerre, reconstruction d’une ville partiellement bombardée, nécessaire relance économique après le conflit mondial, féroce crise du logement, récession de 1927, krach boursier de 1929, chômage de masse des années 1930, montée des totalitarismes en Italie et en Allemagne, conflits régionaux en Europe, prémices de la Seconde Guerre mondiale, et déclenchement de celle-ci : mais comment les architectes et le milieu de la construction du Nancy de l’Entre-deux-guerres ont-ils bien pu traverser tant d’épreuves, tout en maintenant leur activité ? Vu ce qui s’annonce dans les années qui viennent, il vaut peut-être mieux chercher à comprendre…
La Maison de l’architecture de Lorraine, en partenariat avec la librairie du Hall du Livre, organise une séance de dédicaces avec Romain Rousseaux Perin à l’occasion de la sortie de sa nouvelle BD intitulée « Rue de la Grande Truanderie – Une enfance au familistère ».
Les dérives d’une société secrète utopiste, inspirée du Familistère de Guise dans l’Aisne, sont mises en scène dans le Paris du XIXe siècle, entre romanesque social, thriller politique et ambiance de polar noir. Coécrite avec Jean-David Morvan et publiée aux éditions Grand Angle, cette BD historique interroge la notion de justice sociale.
Les rencontres européennes de l’architecture sont un évènement culturel organisé chaque année au mois de mai, par les trois Maisons de l’architecture du Grand Est pour mettre en valeur l’architecture d’un pays européen.
Cette année l’Autriche est à l’honneur avec trois invités prestigieux : Much Untertrifaller [ agence Dietrich Untertrifaller ] Bernd Vlay [ agence StudioVlayStreeruwitz ] Anne-Catherine Fleith [ agence Feld 72 ]
PROGRAMME Vendredi 16 MAI 2 rue des Fuseliers 51000 REIMS 17h : Accueil du public → médiathèque Jean Falala 17h30 : conférences des 3 architectes autrichiens Le logement social à Vienne → auditorium de la médiathèque Falala 17h30 > 19h : ateliers pour les enfants : la petite ville de papier → salle pédagogique de la médiathèque Falala 21h : Soirée conviviale { Sur inscription. tarif 25€ } → Demeure des comtes de Champagne, 20 rue de Tambour 51100 Reims
Samedi 17 MAI 10h : Visite – Ces femmes qui ont marqué Reims → Cathédrale Notre-Dame de Reims 14h30 : Visite – FRAC → 1 place Museux 15h : Atelier – Croquis d’architecture → Cathédrale Notre-Dame de Reims
22 avril, 17h, Ordre des Architectes du Grand Est, 24 rue du Haut-Bourgeois
Le mardi 22 avril, la Maison de l’architecture de Lorraine reçoit Pierre Hebbelinck, architecte et fondateur des éditions Fourre-Tout et Jean-Michel Degraeve, architecte, historien et auteur du livre : Une sobriété créative, Louis Bosny, Architecte 1924-1983. Ensemble, ils présenteront cet ouvrage retraçant en détails la vie et l’oeuvre architecturale de Louis Bosny.
Malgré toutes leurs qualités, l’ensemble des productions de Louis Bosny n’ont pas été reconnues à leur juste valeur et on été oubliées. Seule sa maison de la rue Henri Maus à Liège, qu’il avait dessiné pour lui et sa famille était connue des architectes et des amateurs. Le fondateur des Éditions Fourre-Tout, Pierre Hebbelinck, projetait de longue date la publication d’un livre sur cette maison remarquable. Au départ de ce projet éditorial, le mémoire de fin d’étude de Sacha Boutsen sur la maison de Louis Bosny, avait aussi mis en lumière les activités de l’architecte en matière de logement social. Cette découverte motiva le collectif rédactionnel à proposer à l’architecte et historien Jean-Michel Degraeve, de réaliser un ouvrage sur l’ensemble de l’oeuvre de Louis Bosny. Ses recherches ont donné lieu à un ouvrage richement documenté qui retrace en détail la vie et la carrière de Bosny, en situant sa production dans le contexte socio-politique de son temps.
Jean-Michel Degraeve a rencontré la famille de Louis Bosny, il s’est imprégné de sa vie et a pu sauver des fonds d’archives qui lui ont permis de révéler la singularité d’un homme discret et la pensée conceptuelle traduite dans ses architectures. Et au travers de son engagement exceptionnel, l’architecte Louis Bosny devient, dans cet ouvrage, le témoin actif de l’histoire de l’architecture sociale de son époque.
▹ Grande salle de l’Ordre des architectes du Grand Est, 24 rue du Haut-Bourgeois
🌟 Venez découvrir le monde de l’architecture en terre lors d’une rencontre exceptionnelle avec les architectes des agences Mil Lieux, Studiolada et HAHA architecture.
« Prolongeant une exposition proposée à Dijon par Latitude21 et Julien King-Georges, architecte et plasticien, et diffusée ici sur écran, notre Maison de l’architecture de Lorraine entend valoriser les exemples contemporains et locaux d’utilisation de la terre. De la Damassine en 2008 par l’agence HAHA au projet en pisé à Badonviller par l’agence Mil Lieux en 2013, jusqu’à celui en briques de terre crue, réalisées in situ, pour le siège de la communauté de communes de Moselle et Madon par Studiolada , les projets présentés sont autant de preuves que le changement de modèle peut se faire. Doit se faire ?
🎙️ **Au programme:**
– Présentation de l’exposition par Julien King-Georges
– Présentation des projets par les architectes :
Julien Mussier
Mathieu Fuchs
Benoit Sindt
– Dialogue ouvert et échanges entre les intervenants et le public
🥂 **Un moment de convivialité autour d’un verre viendra clôturer cette soirée enrichissante.**
🌟 Venez découvrir ces réalisations inspirantes et rejoignez-nous dans notre engagement pour un avenir plus durable et respectueux de notre environnement ! Ne manquez pas cette opportunité de plonger dans l’univers de l’architecture contemporaine et d’échanger avec des experts passionnés !
⟀ En tant qu’événement multidimensionnel, MICROPOLIS, organisé par le Théâtre de la Manufacture de Nancy, explore les différentes dimensions de la vie urbaine à travers ses spectacles itinérants, offrant ainsi une immersion dans les diverses réalités de la ville. Parmi ces représentations, Quartiers Libres : chaque semestre, Guillaume Cayet parcourt la Métropole à la rencontre des habitants, écoutant leurs histoires, leurs rêves et leurs peurs. Cette enquête permet d’appréhender une ville, sa périphérie et ses habitants en tenant compte des différentes réalités sociales et politiques façonnées par le travail. C’est également l’occasion de considérer chaque individu comme un acteur du monde, de créer des archives à la fois populaires et poétiques du 20e siècle, et de mettre en avant les travailleurs du 21e siècle, visibles ou invisibles.
⟀ De ces échanges naît une fiction authentique, un reflet fidèle des vies qui animent nos villes. La fiction Les Travailleurs du bâtiment se distingue par sa capacité à dévoiler les coulisses souvent méconnues des personnes qui édifient nos cités.
⟀ Samedi 23 mars, à la Maison de l’architecture de Lorraine, une lecture sera donnée de cette fiction écrite par Guillaume Cayet et interprétée par Étienne Guillot. Le public y sera transporté dans les artères en transformation où se mêlent l’odeur du ciment frais et le bruit assourdissant des machines, mais aussi dans les moments d’intimité où ces héros ordinaires laissent transparaître leurs aspirations les plus profondes.
ⓘ Maison de l’architecture de Lorraine, 24 rue du Haut-Bourgeois à Nancy ⓘ Samedi 23 mars 2024 à 15h ⓘ Réservation : contact@maisondelarchi-lorraine.com / 03 83 17 17 23 ⓦ www.theatre-manufacture.fr
À l’invitation du KLUB, cinéma d’art et essai messin, notre Maison de l’architecture de Lorraine a proposé à Anne-Cécile Jacquot, de l’atelier de paysage et d’urbanisme Omnibus et membre de la Fédération française du paysage, d’introduire la projection de Tant que le soleil frappe à l’occasion de sa sortie en salles le 8 février. Premier long métrage de fiction du réalisateur français, le film interroge la place du paysagiste et de son éthique dans l’élan de végétalisation qui gagne nos espaces citadins.
Synopsis Max ne rêve pas de faire des murs végétaux pour des hôtels cinq étoiles. Paysagiste tenace, engagé mais acculé, il se bat pour créer un jardin sauvage, sans clôture, en plein centre- ville d’une métropole : une zone végétale ouverte à tous. Après des années de refus, son projet arrive en finale d’un concours d’architecture. Pour Max, c’est la dernière chance d’offrir de l’oxygène aux habitants qui suffoquent dans un enfer urbain, sous le soleil qui frappe.
Anne-Cécile Jacquot / Omnibus Atelier de paysage et d’urbanisme fondé en 2010 par Laetitia Lasanté et Anne-Cécile Jacquot, paysagistes DPLG de l’École nationale supérieure du Paysage de Versailles, Omnibus revendique une approche engagée pour concevoir des projets dont la richesse et la singularité naissent de leur désir de travailler pour et avec leurs usagers. Lauréat des Albums des Jeunes Architectes et Paysagistes en 2016, Omnibus repose sur la complémentarité et l’entente de ses deux associées. L’atelier doit également beaucoup à Jeanne Roche qui partagea quelques années l’aventure avant de partir vers d’autres horizons.
Concours Le Klub et la Maison de l’architecture de Lorraine ont le plaisir d’offrir deux places aux trois premiers qui enverront à l’adresse contact@maisondelarchi-lorraine.com la réponse à la question suivante : quel illustre homonyme de Philippe Petit a déjà été cité dans la programmation cinématographique de notre Maison de l’architecture ?